Étude : « Dix-neuf heures de jeûne intermittent permettraient de réduire la circulation des monocytes inflammatoires et donc de diminuer les inflammations »


Traduction de l’extrait :

« La RESTRICTION CALORIQUE est connue pour améliorer les maladies inflammatoires et auto-immunes. Cependant, les mécanismes par lesquels un apport calorique réduit module l’inflammation sont mal compris. Nous montrons ici que le jeûne à court terme réduit l’activité métabolique et inflammatoire des monocytes et réduit considérablement le nombre de monocytes circulants. La régulation du nombre de monocytes périphériques dépend des niveaux de glucose et de protéines alimentaires. Surtout, nous montrons que le jeûne améliore les maladies inflammatoires chroniques sans compromettre la mobilisation d’urgence des monocytes pendant l’inflammation infectieuse aiguë et la réparation tissulaire. Ces résultats révèlent que l’apport calorique et les capteurs d’énergie du foie dictent le tonus immunitaire du sang et des tissus et relient les habitudes alimentaires à l’évolution des maladies inflammatoires« .


Attention ! Il s’agit bien d’une étude sur l’être humain… Donc la durée de jeûne est significative. Néanmoins, elle a été réalisée sur des personnes en bonne santé, âgées de +/- 30 ans.

Ainsi, il faudrait considérer que le jeûne intermittent type 16/8 ou 18/6 n’est pas suffisant d’un point de vue thérapeutique, comme de nombreux de jeûneurs l’ont observé sur notre groupe de discussion. Il est nécessaire de jeûner PLUS LONGTEMPS pour observer des améliorations des symptômes d’inflammation…

Pour mieux connaître le jeûne, ses possibilités thérapeutiques, ses limites et ses contre-indications, allez ici.

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s